Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, il y a sept mois, le Président de la République nous invitait à faire preuve d'audace et d'ambition pour le Grand Paris. Il scellait alors l'acte I de la révolution métropolitaine du XXIe siècle.
Sept mois plus tard, nous sommes au rendez-vous de l'acte II de ce Grand Paris que nous appelons de nos voeux. Il est vital : il concerne les transports.
Le Grand Paris est avant tout un projet politique au sens le plus noble du terme : nous décidons, en toute responsabilité, de changer durablement le quotidien de nos concitoyens.
L'acte I a été celui des dix cabinets d'architectes, mandatés par le Président de la République.