Mais ni les projets des élus, ni ceux des architectes et des urbanistes, ni le plan de mobilisation ne mentionnent le « grand huit » de M. le secrétaire d'État.
Chose étonnante : alors que le moment est historique, qu'il faudrait saisir cet instant de cristallisation, ce potentiel, vous le laissez échapper, et c'est ce qui nous déconcerte. C'est pourtant ainsi que l'on entre dans l'histoire, monsieur le secrétaire d'État. Vous avez au contraire décidé d'adopter la posture de l'homme seul contre tous…