Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, je tiens d'abord à réaffirmer àM. Calméjane qu'il a dit un mensonge. Je lui enverrai les trois comptes rendus du conseil municipal de Saint-Denis, réuni au sujet du Grand Stade, au mois d'août 1993 : il s'apercevra que la décision d'accepter la construction du Stade de France, sous certaines conditions que nous avions négociées avec l'État à l'époque, a été adoptée à l'unanimité moins une voix.