Le court-moyen terme, c'est un programme ambitieux de rattrapage d'investissements trop longtemps différés, d'urgences impatiemment attendues par les Franciliens, qu'il s'agisse des Parisiens dits privilégiés – mais songeons à la saturation de la ligne 13 –, des Franciliens de la proche couronne – usager régulier de la ligne A, je peux en parler en connaissance de cause – ou encore de nos concitoyens de la grande couronne.
Je ne voudrais pas faire de la politique stérile. Voilà des retards que nous avons accumulés depuis vingt-cinq ans. Cela suppose un immense effort que les Franciliens attendent, espèrent.