Ainsi en est-il de la création de l'EPIC Société du Grand-Paris, qui menace directement les établissements actuels chargés des transports. En effet, ces derniers, gérés et financés principalement par les collectivités, risquent d'être réduits à assurer avec les ressources de la fiscalité locale, ou ce qu'il en restera, le financement de choix et de décisions dont les élus auront été exclus.