Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, ce projet de Grand Paris commençait pourtant bien.
Il est tout à fait louable d'afficher de grandes ambitions pour la région capitale, et l'on ne pouvait qu'être d'accord avec le Président de la République lorsqu'il annonçait le 29 avril dernier vouloir faire entrer la métropole parisienne dans le monde de l'après-Kyoto, afin que « la ville s'allie avec la nature au lieu de la combattre ». Le travail titanesque fourni par dix équipes constituées d'architectes, d'urbanistes, d'ingénieurs, de poètes même, tous mondialement reconnus,…