Les deux rapporteurs ont dit l'essentiel.
Si ce sujet à la fois complexe, technique et sensible n'a pas de rapport avec le présent débat, je ne refuse pas d'en parler. Comme je l'ai longuement expliqué hier soir, le dossier fait l'objet d'un travail interministériel. Je me suis engagé à donner une réponse claire aux associations et aux parlementaires, dont je ne suis pas en mesure de vous dire aujourd'hui ce qu'elle sera. Cependant, si nous pouvons faire quelque chose en faveur de ces anciens combattants, nous le ferons.
Je ne puis donc prendre d'engagement précis, sinon celui de faire avancer le dossier dans un cadre interministériel et de ne pas le renvoyer aux calendes grecques. Je vous dirai, le moment venu, en toute clarté et dans le meilleur esprit, ce que nous pouvons faire ou pas.