Je partage l'avis qui vient d'être exprimé par mes deux collègues. Alors que le secteur du livre est en crise du fait de l'apparition de nouveaux modes de diffusion – je pense notamment à Internet –, il convient de conforter les libraires dans leur action, car ils sont un maillon essentiel de la chaîne de la diffusion du savoir. Je soutiens donc cet amendement, qui n'a, je le souligne, aucune incidence financière.