Nous prenons acte de la déclaration du Gouvernement ; il n'est pas question de lui faire un faux procès et d'anticiper. Nous patientons, mais les attentes des futurs bénéficiaires étant grandes et parfaitement justifiées, il faut que la réponse soit rapide. Nous vous faisons confiance, monsieur le secrétaire d'État, nous n'avons pas de raison de douter de votre parole. J'espère que, très rapidement, nous nous réjouirons d'y avoir cru. Nous retirons donc notre amendement.
(L'amendement n° 254 est retiré.)