Madame Billard, vous faites allusion aux deux freins classiques du retour à l'emploi que sont la mobilité et la garde d'enfants.
En ce qui concerne le second frein, le Président de la République s'est engagé sur la mise en oeuvre d'un droit opposable à la garde d'enfant en 2012 (« Ah ! » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et sur les bancs du groupe de la Gauche démocrate et républicaine), ce qu'ont confirmé récemment deux ministres.
Quoi qu'il en soit, pour la mobilité comme pour la garde d'enfants, il faut trouver d'abord des solutions locales. Pour ces raisons, la commission a repoussé ces amendements.