En effet, madame la garde des sceaux, après nous avoir dit dans les médias qu'il fallait réfléchir sur la question de la castration physique, vous avez parlé de la castration chimique – pas à la tribune de l'Assemblée, sans doute parce que vous avez retrouvé la raison –, oubliant que de parler de castration n'est rien d'autre que de flirter avec ceux qui aujourd'hui réclament le rétablissement de la peine de mort. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
La castration, c'est une atteinte physique, une atteinte à la chair.