Nous devons rester cohérents avec notre débat de l'an dernier, qui a été de grande qualité. Il est vrai que, si notre attention portait principalement l'an dernier sur l'aléa climatique ou sanitaire, nous nous apercevons aujourd'hui, avec la crise majeure que nous traversons, que l'aléa existe également sur le plan économique.
Je m'en remettrai donc à la sagesse de la Commission sur cet amendement.