Déjà, le pôle audiovisuel public représente la moitié des commandes. Il pourra difficilement au-delà, même si le support à la création est l'une de ses missions. Mais quid de la commande privée, de cette autre moitié répartie entre toutes les chaînes privées – historiques ou plus petites – si les difficultés financières ne leur permettent pas de remplir leurs obligations de production ?