ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire. Je maintiens que le pacte signé par mon prédécesseur constitue un acquis important. Lorsque je rencontre les ministres étrangers chargés des questions migratoires, c'est toujours sur cette base que nous discutons.
Concernant le sommet de l'Union pour la Méditerrannée, je reconnais qu'il a coûté un peu plus qu'il n'aurait dû, probablement parce qu'il a été organisé dans l'urgence, mais il n'a rien eu du caractère somptuaire que l'on a dénoncé ça et là… Les questions migratoires n'y ont pas été abordées parce que les pays de la rive Sud ne l'avaient pas souhaité.