Je note le plaisir éprouvé par mes collègues de droite à l'idée de pouvoir rester quelques instants de plus dans ce haut lieu de la démocratie qu'est notre hémicycle.
J'ai bien saisi, madame la ministre, que, s'agissant du renoncement aux soins, les chiffres étaient disponibles. Je n'ai, en revanche, pas bien compris l'argument sur les médicaments génériques. J'ai effectivement cru entendre – mais peut-être mon audition a-t-elle faibli à cette heure avancée de la nuit – que des informations existaient mais qu'elles étaient floues et, sinon secrètes, du moins peu diffusées.
Le problème soulevé par notre collègue Jacqueline Fraysse est, en tous cas, tout à fait sérieux. Si les rapports existent, il conviendrait de les étudier et de les communiquer.