Ensuite, cela peut conduire à donner un avantage au premier médicament inscrit dans une classe thérapeutique – ainsi celles des sartans, des IEC, que vous avez citées, ou des hypolipémiants.
Enfin, il n'y a pas lieu de ne pas faire confiance à l'Agence du médicament. C'est une commission indépendante et transparente, composée d'experts scientifiques, qui peuvent faire l'analyse en fonction des stades cliniques – stade I, stade II, etc. – du développement.
Autant de raisons pour lesquelles la commission est défavorable à ces amendements.