J'en ai fini, monsieur le président.
Ce merveilleux système d'accès aux soins, qui permet de lutter contre les drames, il faut accepter de reconnaître qu'il a un coût, qui doit être justement réparti entre tous ceux qui ont les moyens de cotiser. C'est le débat sur la dépense qui vous obsède et c'est pourtant celui sur la recette qui ferait modernité en ce début de XXIe siècle. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)