Nous devons en rester à 1 %. C'est au moins un signal clair et net adressé à l'industrie pharmaceutique.
Très sincèrement, ce taux de 1 % permet à cette industrie de continuer à se développer. Le crédit impôt recherche bénéficie pour les deux tiers, ou au moins pour la moitié, à l'industrie pharmaceutique. D'un côté, nous devons continuer à protéger cette belle industrie, et l'aider à investir, mais, de l'autre, les finances sociales font partie des finances publiques – le médicament est payé par le contribuable – et doivent continuer à être maîtrisées. Un taux K de 1 % est tout à fait suffisant.