J'ai tout de même du mal à entendre de tels arguments.
Hier, monsieur le ministre, en parlant des recettes et des dépenses de la protection sociale, vous nous avez expliqué qu'on ne savait pas trop où on allait en 2010 et que cela devrait aller mieux en 2011. On peut comprendre qu'on ne sache pas trop où l'on va dans cette crise. C'est le cas pour toute la société et, surtout, pour les Français qui perdent leur emploi, qui ne savent pas comment ils vont se soigner, se loger, retrouver du travail.
Et voilà que, d'un seul coup, par un amendement, on protégerait un secteur, celui des médicaments.