Tout professionnel a le droit de se défendre, dès l'instant où une pénalité lui a été infligée. Dans les cas où la commission des pénalités donne raison au praticien, c'est son droit de se défendre qui est remis en cause si le directeur ne suit pas l'avis émis.
La Commission rejette l'amendement, de même que les amendements AS 343 et AS 344 de conséquence du même auteur.