Je ne comprends pas non plus ces différences de prix, et j'ai demandé une enquête à ce sujet. Cela dit, l'amendement me semble poser un problème de recevabilité financière. Pour le reste, beaucoup de progrès sont possibles, à condition de ne pas créer de mouvement de rejet dans l'opinion publique ; n'oublions pas que l'accès à la télévision dans les hôpitaux est payant ; il ne me paraît donc pas raisonnable d'aller jusqu'à la gratuité.
Le 26/11/2009 à 12:11, Le Canard Déchaîné (Lecteur averti) a dit :
Selon le Canard Enchaîné du 18 novembre (qui attribue visiblement par erreur ces propos à Mme Alliot-Marie en lieu et place de son secrétaire d'Etat) la situation est en réalité bien pire que cela: non seulement les télévisions ne sont pas gratuites telles que cela avait été promis par Badinter pour un an après l'installation des postes, mais elles coutent un prix mensuel de 38 euros soit un prix en cumulé dépassant largement l'achat du poste. Un ancien détenu surnommé "Robin des lois" dénonce ainsi le racket des télévisions en prison dans un article du parisien. Il aurait lui-même pu acheter sa télé et lors d'un transfert vers une autre maison d'arrêt on l'aurait contraint à s'en débarasser pour louer à nouveau une autre télévision. http://prison.eu.org/IMG/pdf/LE_PARISIEN.pdf
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui