J'espère mettre un terme aux obsessions antisécuritaires de M. Mamère. Voilà trois mois qu'il a été demandé à chaque ministère de préparer les mesures à prendre si l'épidémie se généralisait et empêchait un fonctionnement normal des administrations. Les mesures résultant des réflexions engagées n'ont fait l'objet d'aucun arbitrage et ne correspondent pas à l'état actuel des connaissances médicales sur ce virus. C'est un non-sujet.