Nous nous trouvons dans une situation fort délicate.
Je suis, sur le fond, très favorable à la réforme. Cependant, l'attitude du Gouvernement, qui ne fait que nous laisser entrevoir des modifications financières, ne me satisfait pas, car je ne voudrais pas que la profession d'avoué soit pénalisée par une indemnisation inconséquente. Que faire ? Faut-il que je m'abstienne ?
On ne peut pas travailler dans ces conditions ! Nous ne pouvons pas nous contenter d'informations transmises verbalement par le rapporteur.