Lors d'une précédente audition, mon général, je vous avais posé une question similaire et vous m'aviez répondu qu'il n'y aurait pas de suppression sans l'accord des élus sur le terrain. J'observe que le message n'est pas encore tout à fait passé et que la machine continue de tourner, même si l'on peut espérer des jours meilleurs.
En matière d'immobilier, l'État a laissé se dégrader les casernes dont il est propriétaire au point que certaines sont quasiment inhabitables. Il faut trouver une solution car, d'une part, on force les gendarmes et leurs familles à vivre dans des conditions indécentes et, d'autre part, on prend prétexte du très mauvais état des casernes pour fermer des brigades !