Outre la justice et la compétitivité, nous avons un troisième principe que n'a pas évoqué Jean-François Copé tout à l'heure : nous cherchons à protéger notre environnement en faisant évoluer l'assiette fiscale pour aller d'un impôt sur la production tel qu'il est actuellement vers un impôt sur la pollution.
C'est aussi notre majorité qui a adopté ce dispositif. J'ai été vraiment triste de constater que la gauche n'a pas voté en faveur de la taxe carbone, et qu'elle n'a pas voulu engager la fiscalité française dans une voie véritablement moderne.
Pour toutes ces raisons, le Gouvernement émettra un avis défavorable à tous les amendements de suppression.