S'agissant des ventes, madame Mazetier, ce n'est pas à la représentation nationale de décider de la vente de tel ou tel bien, sans quoi nous n'en aurions jamais fini ! Cela ne relève pas du pouvoir législatif.
Nous menons une politique de ventes très active ; certains d'entre vous sont du reste directement concernés, par l'intermédiaire du Conseil de l'immobilier de l'État. Ces ventes ont représenté 500 ou 600 millions d'euros cette année, et jusqu'à un milliard au cours des deux ou trois années précédentes, lorsque le marché immobilier était plus favorable. Des opérations très importantes de restructuration de nos administrations sont en cours à Paris, mais aussi dans les régions.
L'opération qui touche l'Imprimerie nationale n'a certes pas été brillante…