Merci, monsieur le président. Je n'abuse pas de la parole ; je me contente le plus souvent d'écouter et d'entendre. Mais je ne peux pas laisser dire à notre collègue Claude Bartolone ce qu'il a dit.
Certes, des banques ont proposé aux collectivités territoriales des produits dont on peut contester la qualité. M. Bartolone a eu la chance de devenir président du conseil général de Seine-Saint-Denis. Quant à moi, j'ai eu la malchance de quitter la présidence de mon conseil général suite au vote des électeurs en mars 2008. Si mon successeur socialiste, qui s'accroche d'ailleurs beaucoup à son siège, avait eu l'occasion de nous reprocher d'avoir acheté de mauvais produits, il ne l'aurait pas ratée ! (Sourires sur les bancs du groupe UMP.)