Vous avez reconnu, madame la ministre, que le président de la commission des finances avait été convaincant. J'ai le même avis que vous et c'est en partie la raison pour laquelle j'ai voté son amendement en commission des finances. Vous avez été vous-même convaincante, heureusement, mais pas totalement et je me permettrai de vous poser deux questions très précises à la fin de mon propos.
Je suis un membre récent de la commission des finances et mon rapport aux banques depuis mon arrivée dans cette commission est très particulier.
Il y a d'abord eu l'affaire Kerviel, et je ne vous cache pas que, lors du débat que nous avons eu avec l'ancien président-directeur général de la Société générale, j'ai été particulièrement choqué…