Deuxième remarque : je maintiens le raisonnement qui prétend que l'article 3 est révélateur du choix émis hier par l'Assemblée et que je persiste à déplorer. Ce choix, je le respecte car la majorité a parlé, mais pour autant je ne peux m'empêcher de le déplorer. Je maintiens que la seule façon de revenir à un barème – dont tous les parlementaires qui se sont penchés sur le sujet depuis des mois pensent qu'il était meilleur que celui qui a été retenu –, c'est évidemment de ne pas accepter l'article 3 tel qu'il nous est proposé par le Gouvernement.
Troisième remarque : je suis évidemment sensible, comme tous les collègues, à l'engagement de Christine Lagarde – nous connaissons, en effet, sa loyauté – lorsqu'elle indique que, l'année prochaine et, le cas échéant ultérieurement, elle fera tout ce qu'elle pourra pour que les chambres de commerce et d'industrie soient correctement financées,…