Le climat de suspicion qui règne autour de nous est insupportable. Certes, nous sommes au service des gens, mais nous ne sommes pas leur serpillière. Or, les critiques que nous subissons ne sont que la première étape. Déjà, certains s'intéressent à nos dépenses : méfions-nous que l'on ne nous demande pas de justifier bientôt comment nous finançons l'achat de tubes de dentifrice !
Par ailleurs, la publication de statistiques sur le nombre de prises de parole va totalement contre l'idée d'un meilleur contrôle du temps des débats sujet, qui a déjà provoqué tant de polémiques.