Nous devons, au contraire, saisir cette formidable opportunité de réformer en profondeur le financement des collectivités locales. Comme l'a dit le Premier ministre la semaine dernière devant le Conseil national des exécutifs, « Il n'y a pas d'un côté l'État et puis de l'autre côté les collectivités locales […] il y a une seule République au fonctionnement de laquelle concourent et l'État et les collectivités locales. »