Enfin, quatrième élément de cohérence : nous poursuivons le basculement de l'économie française vers un modèle de croissance verte en déplaçant la fiscalité de la production vers la pollution avec la taxe carbone, mais aussi en procédant à un certain nombre d'ajustements de nos dispositifs fiscaux pour encourager les comportements écologiques – « verdissement » de la loi TEPA, « verdissement » de la loi Scellier, poursuite du crédit d'impôt « chaudière ».
Travailler au retour durable de la croissance, c'est continuer à réformer le capitalisme pour ne pas reproduire les errements du passé.