Je ne vous demande qu'une petite seconde, monsieur le président.
Le RSA n'est pas appliqué là où il serait le plus efficace et où le nombre de ses bénéficiaires serait le plus élevé. Deux injustices ont déjà été commises ; une troisième le sera bientôt, en vertu de l'article 11 : l'imputation sur la prime pour l'emploi du RSTA, le revenu supplémentaire temporaire d'activité, qui n'est pas un substitut du RSA. Cela représente une économie de 300 millions d'euros.
Nous demandons à la majorité et à la représentation nationale de corriger ces injustices.