J'ai entendu votre exemple, monsieur Mallié. Je peux en donner beaucoup d'autres, car c'est une règle générale.
Deuxièmement : l'immobilier. J'ai eu l'occasion, hier, au titre du Conseil pour l'immobilier d'État, de faire le point sur la réforme de l'administration territoriale actuellement engagée. Monsieur le ministre, vous qui suivez ce dossier avec compétence et attention, je voudrais vous dire que nous prenons beaucoup de retard. Dans le domaine de l'immobilier, nous constatons beaucoup d'avancées, mais ce dossier-là n'avance guère.
Troisièmement : des mesures emblématiques ne sont pas prises alors qu'elles devraient l'être. Permettez au rapporteur du budget de la fonction publique que je suis de vous indiquer que nous aurions souhaité que l'École nationale d'administration – institution assez emblématique – accepte enfin de signer ce contrat d'objectifs et de performance que nous lui demandons pour la quatrième ou cinquième année consécutive. Elle ne l'a toujours pas fait.