En 2009, nous avons prévu une enveloppe budgétaire de 43 milliards d'euros pour les frais financiers, les intérêts de la dette. Or, en exécution, cette dépense ne s'élèvera qu'à 38,5 milliards. Paradoxalement, alors que nous aurons emprunté 250 milliards d'euros en 2009, les frais financiers de la dette auront diminué.