Cette nouvelle politique de la gestion des flux migratoires va dans le bon sens, car en matière la lutte contre l'immigration clandestine, elle rappelle des principes fondamentaux et quelques vérités qui, lorsqu'elles ne sont pas suffisamment évoquées, font le bonheur des passeurs, des fraudeurs et des marchands de sommeil.
J'évoquerai un point sur lequel nous serons peut-être d'accord : les situations dramatiquement inhumaines que nous gérons à Clichy-sous-Bois, à Paris dans le XIIe ou dans le XXe arrondissement. Monsieur le secrétaire d'État, vous gérez ce dossier, vous ne l'instrumentalisez pas. Il vaut mieux proposer des textes que de jouer avec l'émotion des parents, quand des enfants ont des parents sans papiers.
Chers collègues socialistes, je vais vous dire ce que j'ai sur le coeur : vous oubliez parfois les prolos qui votent pour vous, au profit des bobos à qui vous voulez faire plaisir.