Il ne faudrait pas, monsieur l'ambassadeur, évacuer trop rapidement la question du sentiment anti-français au Gabon sous prétexte que le conseil constitutionnel local aurait donné sa bénédiction.
Il ne faudrait pas davantage nous mettre nous-mêmes en difficulté. Je pense à certain personnage qui se dit au Gabon le porte-parole des uns et des autres, en particulier des autorités françaises, et dont les propos ont considérablement pollué la situation. Cette question est-elle réglée, monsieur l'ambassadeur ?