Oui, je souhaite, avec mon ami le sénateur Jacques Blanc, sortir par le haut de ce dossier.
Non, je ne me résoudrai jamais à abandonner ce combat, comme d'autres l'ont déjà fait, car il y va de l'identité même de la Lozère et de la défense de la ruralité.
Pourquoi ne pas considérer qu'il ne s'agit que d'un début et que la Lozère pourrait être ensuite dépecée, au gré des réformes institutionnelles, entre le Cantal, l'Aveyron, la Haute-Loire, l'Ardèche, le Gard et l'Hérault ?
Monsieur le secrétaire d'État, ceci n'est pas une supplique mais l'expression intime, profonde, d'un élu accroché à son territoire, ancré dans ses valeurs, convaincu que le combat qu'il mène est juste et légitime.
Le Président de la République a pour habitude de dire qu'il transpire la politique par tous ses pores. Puis-je utiliser la même formule, mais appliquée à la Lozère en ce qui me concerne ?
J'attends avec grand intérêt votre réponse et je me déterminerai en mon âme et conscience en fonction de la position que vous exprimerez à l'issue de ce débat.