On peut toujours discuter le fait que le découpage passe à tel endroit ou à tel autre, mais vous avez eu des contraintes. Il fallait respecter les cantons, vous ne pouviez redécouper que ceux qui avaient plus de 40 000 habitants.
Après avoir entendu pis que pendre sur votre action, je voulais, par ce témoignage, attester l'intégrité du travail qui a été effectué et son caractère exemplaire. Il permettra à la France si, demain, nous devons revoter, de pouvoir répondre aux aspirations des Français. Soyez conscients, mes chers amis, que nous n'avons pas besoin de redécouper les circonscriptions pour que vous les perdiez : vous êtes suffisamment habiles pour le faire. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) C'est ça la réalité, et c'est la peur que vous avez pour les élections de demain. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)