On ne pourra pas vous accuser de n'avoir rien fait. Vous nous reprochez de ne pas avoir fait le découpage quand nous en avions la possibilité, et il est vrai qu'aujourd'hui vous nous donnez des regrets. Si nous l'avions mené à bien, on ne serait pas dans une telle situation. Madame Zimmermann, je pense qu'alors vous auriez été mieux respectée en tant qu'élue et en tant que citoyenne. On aurait pris en compte les réalités géographiques et économiques ainsi que la réalité de la vie des habitants de votre département, comme ce devrait être le cas dans tous les départements de France, y compris dans le Puy-de-Dôme. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Monsieur le secrétaire d'État, j'étais un modeste instituteur, à une époque où l'on faisait encore des leçons de vocabulaire. Je vais donc vous faire ce soir une petite leçon de vocabulaire.