La République tchèque a signé le traité de Lisbonne le 13 décembre 2007. Le Parlement tchèque l'a ratifié. Il serait inconcevable que Vaclav Klaus n'y appose pas sa signature. (Exclamations sur les bancs du groupe GDR.)
Toutefois, il ne convient pas de négliger les enseignements de cette décennie à la recherche du temps perdu par nos institutions, notamment celui qui se dégage du second référendum irlandais. Sans nul doute – M. Lecoq l'a lui-même souligné –, lorsque le temps se gâte, les peuples conviennent de la nécessité de l'Europe. Aucun État aujourd'hui ne risquerait seul sa frêle embarcation par le gros temps de la tempête économique et financière.