Il s'agit de séparer les paris « en dur », effectués dans les cafés et chez les buralistes, des paris en ligne. Si on ouvre le monopole, il faut l'ouvrir totalement. Or on laisse le PMU conserver son activité de paris « en dur » tout en lui laissant la possibilité de développer les paris en ligne. Nous proposons donc de corriger une éventuelle distorsion de concurrence en permettant à l'ensemble des futurs opérateurs de paris hippiques de mutualiser leurs enjeux en ligne avec ceux du PMU. Il faut à la fois préserver l'équité entre les opérateurs et protéger les cafés et buralistes qui participent à la vie des communes les moins importantes. En effet, de moins en moins de joueurs se tourneront vers les paris « en dur » pour favoriser les paris en ligne.