Mais peut-être avons-nous raison. Nous n'avons pas nécessairement tort parce que nous sommes la majorité.
Ce que vous dites en réalité, c'est qu'il peut y avoir manipulation du jeu. Si l'on tient les médias, que l'on est présent dans un opérateur, que l'on a des recettes de publicité, on a plusieurs canaux de ressources et, comme le jeu peut être truqué ou instrumentalisé, le système devient extraordinairement pervers et très difficilement défendable. Je suis d'accord. Si l'on part du principe que le jeu est manipulé, tout est totalement indéfendable, nous partageons la même morale. Cela dit, il peut toujours y avoir des erreurs, la vie est pleine d'erreurs, mais l'ARJEL et les tribunaux seront là pour les sanctionner et nous faisons tout pour éviter qu'il y ait la moindre instrumentalisation du jeu.
Quand un groupe de télévision est propriétaire d'un club, il ne l'instrumentalise pas particulièrement. Il peut toujours dire que c'est le meilleur, mais il n'a pas d'action particulière pour qu'il ait un résultat dans un sens ou dans un autre. S'il est actionnaire d'une société de jeux qui ouvre les paris sur l'ensemble de la filière, je ne vois pas en quoi il y a conflit d'intérêts.
Nous ne répondons pas à votre question parce que nous ne la comprenons pas et qu'elle n'est pas fondée.