Je terminerai en revenant sur une réflexion de M. Apparu. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Mme Mazetier faisant observer qu'à Paris, les écoles ne pouvaient pas accueillir les enfants de moins de trois ans faute de postes en nombre suffisant, vous lui avez rétorqué, monsieur Apparu, que la ville n'avait qu'à créer des places en crèches. On voit bien en quoi nous différons : pour nous la mission de garderie, ce n'est pas la mission d'éducation, et nous ne voulons pas que l'éducation nationale se transforme en garderie nationale ! (Vives exclamations et applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)