C'est le rôle de l'administration pénitentiaire de tirer la conséquence des différences entre les détenus ; ne pas le reconnaître reviendrait à ne même plus s'appuyer sur son professionnalisme et, à partir de là, plus rien ne serait possible. Ce que je viens de rappeler ne va en aucun cas à l'encontre des droits des personnes, y compris des droits des détenus. Sur ce point, il serait vain de nous faire, ainsi qu'à l'administration, un mauvais procès.