Évidemment, si l'on a affaire à un trafiquant de stupéfiants, on ne le placera pas sous surveillance électronique ; cela ne servirait à rien.
La semi-liberté, quant à elle, correspond à un autre profil qui consiste à priver des individus de toute possibilité de profiter de leur temps libre puisque, la journée, ils pourront aller travailler ou se former mais devront retourner en détention le soir venu.
Ensuite, il faut bien convenir que la variété des modes d'application des peines répond aussi à un problème de finances publiques.