De plus, un deuxième amendement relève le seuil d'intervention des communes – notre collègue Jacques Pélissard vient de l'évoquer et un troisième concerne les contreparties financières, sans parler de celui qui tend à substituer l'État à la commune en cas de mise en cause de la responsabilité pénale des maires.
Donc, rien dans vos propos, monsieur Valls, ne peut justifier le renvoi en commission. Je propose, en conséquence, à nos collègues de rejeter cette motion. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)