Grâce à la décision du Président de la République, nous allons être effectivement à 68 000 places, sans compter toutes les constructions que nous permettront de fermer des cellules qui ne répondent pas aux conditions de respect de l'homme dont nous nous préoccupons tous.
Bien sûr, il n'est pas question de limiter une loi pénitentiaire à une simple question de gestion immobilière. Il faut aller plus loin et j'ai cru comprendre en commission que c'était le souhait de tous.
En effet, contrairement à ce que vous avez dit, la délinquance a baissé, et sensiblement, depuis 2002.