Se pose également le problème des délinquants sexuels. J'ai pu constater, dans le cadre de mes fonctions antérieures, que les viols ou tentatives de viol sont principalement commis sur les personnes les plus fragiles, qu'il s'agisse d'enfants, d'adolescentes, de personnes handicapées ou, plus généralement, des femmes. L'incarcération ayant notamment pour mission de protéger, ne faut-il pas exclure les délinquants sexuels de ces aménagements de peine ?