Je tenais à apporter un complément d'information à ce que vient de préciser notre collègue Laurence Dumont. Ce qu'elle vient de décrire pour la maison d'arrêt de Caen est également valable pour celle d'Amiens, que j'ai eu l'occasion de visiter voici quelques années. On y supprimait alors le lieu collectif du SMPR permettant aux malades atteints de troubles psychiatriques d'échanger avec les personnels, et ce au profit de la construction de nouvelles cellules. Telle est la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui.
(L'amendement n° 511 n'est pas adopté.)